La notion de modernité est complexe, car elle est relative à chaque période historique : ce qui fut et se proclamait moderne hier, est aujourd’hui devenu ancien.
le sociologue Max Weber écrit que “le terme “individualisme“ recouvre les notions les plus hétérogènes que l’on puisse imaginer”.
La citoyenneté, fait pour un individu d’être reconnu comme membre d’une cité (aujourd’hui d’un État), est le fruit d’une longue évolution.
Dans la conférence du 11 mars 1882, publiée sous le titre de Qu’est-ce qu’une nation ?, l’historien Ernest Renan (1823-1892) analyse une idée claire en apparence
Selon un dicton populaire allemand, en démocratie, tout ce qui n’est pas interdit est permis, sous une dictature, tout ce qui n’est pas permis est interdit et dans le totalitarisme, tout ce qui n’est pas interdit est obligatoire.
L’on s’attardera ici sur quatre points: d’abord la définition et l’historique des relations internationales, ensuite une analyse de la notion de coopération et enfin la présentation des acteurs de la vie internationale.
Les États et les peuples du monde entretiennent entre eux des relations sous divers aspects ; les relations politiques (pacifiques ou conflictuelles)
Dans Nations et nationalisme depuis 1780, l’historien Eric Hobsbaw résume la composante problématique de la notion de nation de la manière suivante
L’autoritarisme est un système politique se caractérisant par une confiscation du pouvoir au profit du gouvernement en place,
“Le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” est la formule célèbre d’Abraham Lincoln pour définir la démocratie.
Les systèmes politiques désignent les grandes catégories d’organisation des pouvoirs publics, à savoir : les régimes démocratiques, les régimes autoritaires et les régimes totalitaires.
l’Etat-providence est une notion d’origine française, employée dans un sens négatif par les libéraux, pour fustiger l’élargissement des fonctions de l’Etat à des fonctions sociales